Mariage heureux, mariage troublé, mariage raté. Des destins de femmes, en chansons.
Le choeur veut croire à l'amour et l'idylle, bien qu'il se confronte aux avis plus mitigés, voire sarcastiques de petits ensembles et aux solistes. Humour parfois acide, poésie, simplicité, grandiloquence, rêve et réalisme rythment le spectacle, lié de textes parlés.
Musiques : Anznavour, Bernstein, Brassens, Debussy, Haydn, Janequin, Mozart, Ravel, Verdi, Vian, Wagner, Whitacre...
Une pianiste révise ses partitions. Elle s’endort... Au sein des songes se profile le chœur, transporté dans ses limbes éludés au fil de l’eau. A la plage, à la pêche, sur la mer et sous sa houle, un bateau qui fait naufrage, l'aventure onirique prend fin sur une île qui n'est déserte que de nom. Trenet, Ligeti, Wagner ou Puccini, La Folle de l'île emporte par ses élans poétiques et dramatiques.